Le Guide de la Pêche en Cévennes

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En coeur de France, en terre de contrastes, la Lozère est riche de nombreuses rivières enchanteresses.
L’une d’elles, la Mimente, se cache au milieu des gorges granitiques.
Un paradis pour les pêcheurs et les randonneurs avertis.La Mimente se cache dans les gorges qui bordent la route de la Barre des Cévennes pour plonger vers Florac. Avant de rejoindre cette ville située au pied des falaises dolomitiques de Rochefort, elle se joindra au Tarnon pour grossir ses eaux et gonfler le Tarn.
Pour découvrir la Mimente longue de 26 km, rejoignez Cassagnas sur la N 106 qui mène à Florac. Juste avant vers les Crozes, un emplacement permet de garer les véhicules.
Plus bas en aval au village St Julien d’Arpaon, la rivière est plus calme et rejoindra le Tarnon avant Florac.
A cette confluence, la Mimente est sage et propice à la randonnée.

Joyau totalement ignoré de nos rivières cévenoles, la Mimente se prélasse langoureusement sur un lisse, pour reprendre sa course dans le fracas d’une première cascade et dans une gerbe d’arcs-en-ciel. Entre le ciel et l’eau, entre ses sautes d’humeur et ses temps de repos, la Mimente offre une telle multitude de caches et de pièges que seule une approche discrète permet de détecter la présence de sa faune. Etroitement liée à ce qui l’entoure, la rivière est un élément toujours agréable à l’œil, depuis des siècles… les camisards hier, les contemplatifs aujourd’hui.La biodiversité de son paysage et de ses habitats divers, font que cette rivière à un fonctionnement écologique satisfaisant, favorable à la vie sauvage. L’encaissement dans des gorges profondes, lui confère cette particularité exceptionnelle d’être encore préservée des activités humaines et confirme ce vieil adage : « pour vivre heureux, vivons caché » Son boisement naturel crée de multiples habitats favorables à une grande quantité d’espèces animales et protège le sol de risques d’érosions. L’eau est abondante, fraîche, oxygénée.

Joyau totalement ignoré de nos rivières cévenoles, la Mimente se prélasse langoureusement sur un lisse, pour reprendre sa course dans le fracas d’une première cascade et dans une gerbe d’arcs-en-ciel.
Entre le ciel et l’eau, entre ses sautes d’humeur et ses temps de repos, la Mimente offre une telle multitude de caches et de pièges que seule une approche discrète permet de détecter la présence de sa faune.
Etroitement liée à ce qui l’entoure, la rivière est un élément toujours agréable à l’œil, depuis des siècles… les camisards hier, les contemplatifs aujourd’hui.La biodiversité de son paysage et de ses habitats divers, font que cette rivière à un fonctionnement écologique satisfaisant, favorable à la vie sauvage.
L’encaissement dans des gorges profondes, lui confère cette particularité exceptionnelle d’être encore préservée des activités humaines et confirme ce vieil adage : « pour vivre heureux, vivons caché »
Son boisement naturel crée de multiples habitats favorables à une grande quantité d’espèces animales et protège le sol de risques d’érosions.
L’eau est abondante, fraîche, oxygénée.

	Plus tard, vers l’été, les sources qui l’alimentent dans les chevelus de la Barre des Cévennes, se tarissent quelque peu… Alors « au milieu coule une rivière » nonchalante et paresseuse. Mais c’est à l’automne que le spectacle est somptueux, avec les milliers de teintes qui changent à chaque instant à travers les murailles de chênes verts, l’or et le cuivre se moirent pour créer un tableau digne du regretté Max Fournier. Avec beaucoup de patience, caché dans les fourrés, vous pourrez peut-être apercevoir le rat musqué, le ragondin ou la truite sauvage, hôtes privilégiés de ces lieux. Des lieux où l’homme n’a pas encore vraiment dompté cette nature vraie… celle que nous laisserons à nos enfants.
	Pour arpenter les berges de la Mimente, et pour découvrir ce parcours idyllique mieux vaut être accompagné d’un guide éclairé qui connaît les passages à travers les gués, les murs de ronces et les tapis de genêts. Il est facile de descendre à la rivière, la remontée est plus compliquée, d'où la nécessité d'être guidé.

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LES BALADES EN LOZERE
De nombreux chemins de randonnées, des petites routes sauvages, des sites bien cachés, des gîes acceuillants... Des perspectives qui attirent les amateurs de pleine nature en Lozère.

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	48 - LA MIMENTE
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